Charte de la ligue arabe, à amender selon les AL SAOUD

Assalamou 3alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou;

Après avis des chouyoukhs des Harameyn, et avis conforme des chouyoukhs d'Al Azhar, d'Al Karawiyin, de Zitouna, et de Amman, Sa Sérénissime Altesse impériale, Gardien de la doctrine du "Wait and See" et du " Prie et accroche toi à ton trône", le Gardien des palais architecturaux des lieux Saints de l'Islam, Abdullah Ibn Abdel Aziz, a ORDONNE que dorénavant, les travaux de toutes les Conférences interarabes, et musulmanes devront débuter par la prière suivante, qui devra être ENSEIGNEE à tous les musulmans de la planète et devenir AKIDA (DOGME), comme la CROIX l'est pour les chrétiens.

Les VISAS pour le HADJ et la OMRA, ne seront délivrés aux jeunes de moins de 40 ans, qu'après le succès à la RECITATION de ce dogme, devant le Conseiller culturel d'Arabie Saou SAOU DITE.
A titre exceptionnel, les militaires et agents des forces de l'ORDRE des pays qui combattent l'Islamisme, pourront être exonérés de cette récitation, s'ils ont fait partie des "Patriotes" de leurs pays respectifs, des GIA, d'AlQaida, ou des "forces de répression de l'Islamisme".
- Seront également exonérés de ces récitations, les intellectuels et autres politiciens, MODERNISTES et reconnus comme tels pour avoir tissé des liens indéfectibles avec les "gens du Livre", et s'être opposés aux mouvements "islamistes révolutionnaires".
- Au profit de ceux admis au titre de chevalier, d'officier, ou de commandeur du Croissant fertile ou de gardiens des gisements pétroliers nécessaires au développement industriel de "NOS frères" des pays islamophobes, le Royaume de Sa Sérénissime Majesté Saoud et le Président de l'Assemblée des chèques "balivernes", il sera institué chaque année un prix NOuBAL'''3it, d'une valeur de Un million de rials wahabis.

SALAM JE NAI PAS COMPRIS CE QUE VEUT DIRE TON INFO Sur les visa

MUKTAR a écrit:

SALAM JE NAI PAS COMPRIS CE QUE VEUT DIRE TON INFO Sur les visa

Assalam;

Il est de notoriété publique que l'Arabie saoudite, octroye chaque année des quotas, aux pays musulmans, pour le pélérinage aux lieux saints de l'Islam, devenus leur propriété, outre une source de revenus appréciables, et un moment de PROPAGANDE pour le madhhab wahabi.

Pour y aller donc, on a besoin du VISA HADJ, différent du VISA OMRA, ou du VISA pour le Royaume d'Arabie saoudite, et dans ma caricature ou si tu veux ma parodie, pour l'obtenir, il faut passer l'EXAMEN d'aptitude à faire un HADJ, conforme à la souna des chouyoukhs qui ont TOUJOURS servi les détenteurs du POUVOIR au lieu de servir ALLAH, exclusivement.

SALAM YA saiyed

sa veut dire que si je veux aler faire le hadj inchalah meme si g l argent la sante et les moyen il me laisseront pas i aler sauf si g 1 visa

salam

aux pays musulmans, pour le pélérinage aux lieux saints de l'Islam, devenus leur propriété, outre une source de revenus appréciables, et un moment de PROPAGANDE pour le madhhab wahabi.

cela ne concerne que les pays arabe ? ou vu ke que j'abite en france cela ne me concerne pas ?

Assalam;

Cela a toujours été ainsi depuis que les Wahabis ont pris le pouvoir. IL FAUT un VISA pour aller en Arabie Saoudite, SAUF pour les américains allant en BUSINESS que rien n'empêche ensuite d'aller à La Mecque, puisque personne ne vous demandera rien...

C'est cela le PARADOXE...

la conclusion de l'alliance fondatrice entre le chef du clan des Saoud, Mohammed ibn Saoud, et l'inspirateur du mouvement wahhabite, Mohammed ibn Abdul-Wahhab, au milieu du XVIIIème siècle, la prise de la Mecque et de Médine et le contrôle des Lieux Saints sont apparus aux deux partenaires comme des objectifs essentiels pour garantir le succès durable de leur entreprise de réforme politico-religieuse.

Après une brève période de domination saoudienne, autour de 1805, le Roi Abdul-Aziz ibn Saoud s'empare définitivement de la ville du Prophète, en 1924, et impose son autorité aux deux Villes Saintes. Il entreprend bientôt des travaux d'agrandissement et d'embellissement tels que les Saintes Mosquées n'en ont plus connu depuis près de dix siècles. Si les enjeux financiers liés à une mise en valeur et à une fréquentation plus aisée des Lieux Saints ne lui échappent pas2, il a surtout conscience qu'à défaut d'une légitimité semblable à celle des Hachémites qu'il vient de détrôner3, il ne pourra faire accepter par l'ensemble du monde musulman sa mainmise par la force sur les centres spirituels de l'islam qu'en manifestant une attention particulière à ses temples les plus vénérés et en améliorant les conditions du pèlerinage.

Si l'Iran partage alors l'appréhension provoquée dans l'ensemble du monde musulman par la domination nouvelle des Wahhabites sur les Saintes Mosquées et par l'imposition généralisée de leur compréhension rigoriste des rites de l'Islam, les Chiites ne manquent pas de motifs d'inquiétude spécifiques, qui trouvent leur origine dans l'histoire. Dès leur apparition dans la partie centrale de la péninsule arabique, le Nejd, aux alentours de 1750, les disciples de Mohammad ibn Abdul-Wahhab se sont en effet comportés à leur égard comme des adversaires impitoyables. Non contents de considérer les sectateurs d'Ali comme des idolâtres et de ne leur laisser souvent le choix qu'entre la conversion au sunnisme ou la mort, ils se sont employés, par fidélité à l'enseignement de leur maître, à saccager de manière systématique les monuments funéraires et les mosquées chiites, à l'intérieur comme à l'extérieur des frontières de l'Arabie4. Les destructions effectuées à Médine même, lors et au lendemain de la prise de la ville, en 1925, ont provoqué un tollé de scandale en Irak et en Iran. Le vieux cimetière d'al-Baqî', où reposaient certains des pieux ancêtres les plus vénérés par les Chiites, dont Fatima, la propre fille du Prophète, et nombre des premiers Imâms, a été particulièrement visé. Les dégâts accomplis, le cimetière a été fermé et ceint d'un haut mur afin d'interdire l'accomplissement des visites (ziyârât) et des autres rites propres aux pèlerins Chiites, qualifiés d'hérésies (bid'a) par les rigoristes wahhabites.

Régulièrement agressés et malmenés sur les routes terrestres menant de leurs pays d'origine au Hedjaz, Iraniens et Irakiens ont encore en mémoire que nombre de leurs compatriotes ont jadis payé de leur vie la haine des Wahhabites pour les Chiites. Leur situation ne commence à s'améliorer qu'à partir de 1929, le Roi Abdul-Aziz s'étant enfin décidé à mettre bon ordre au zèle immodéré des Ikhwâns qu'il avait lui-même fondés pour le servir dans ses conquêtes. Mais, instruits par la situation marginalisée et précaire qui demeure jusqu'à aujourd'hui celle de leurs frères saoudiens, dans la zone orientale du Royaume, les Chiites ressentent profondément qu'ils ne sont pas les bienvenus en Arabie Saoudite.